Depuis son investiture en tant que Président de la cinquième République, Brice Clotaire Oligui Nguema s’affirme comme le Chef d’orchestre d’un vaste chantier national visant à remettre le Gabon sur les rails du développement et de la bonne gouvernance. Sa méthode repose sur un triptyque clair : décision, orientation et supervision, trois leviers qu’il entend activer avec rigueur pour transformer les promesses en actions concrètes.Sous son impulsion, l’administration publique sera soumise à un rythme de travail inédit.
Ministres, gouverneurs et autres seront régulièrement convoqués pour des séances d’évaluation où les résultats priment sur les intentions. Ce nouveau style de gouvernance, à la fois directif et participatif, impose une redevabilité accrue et un recentrage sur les priorités nationales : santé, éducation, lutte contre la corruption et réhabilitation des infrastructures.« Il ne s’agit pas de gérer, mais de transformer », a-t-il affirmé lors d’une récente réunion. Une posture qui le place non seulement en décideur, mais aussi en stratège et en contrôleur des politiques publiques. Cette dynamique, bien accueillie par une partie de la population, suscite toutefois des attentes élevées sur la durée et l’ampleur des réformes promises.
Pour Oligui Nguema, la réussite du développement du Gabon ne dépendra pas uniquement de la volonté politique, mais de sa capacité à maintenir la pression sur les appareils de l’État tout en construisant un consensus autour du changement. En cela, il s’impose de plus en plus comme le maître d’œuvre d’un nouveau contrat social, centré sur l’efficacité, la justice et la reconstruction de la confiance citoyenne.
La Rédaction
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